From Rino Forese
on
Torna Gesù - Poesia da Luigi Pirandello
BELLISSIMA.
Grazie Elisa per la scelta giusta per Natale in arrivo.
Così ho conosciuto un’altra faccia del nostro Pirandello.
Ciao cara amica, BUON NATALE.
Rino-ceronte
From Vitaliano Spiezia
on
Letterina a Babbo Natale
Siamo coetanei e con grande nostalgia mi fai rivivere quei momenti magici che anch’io ho vissuto tanti, troppi forse anni addietro. Grazie ancora una volta Elisa per il tuo intervento sul blog che naturalmente condivido totalmente.
From paolo
on
SEI SOLA VENEZIA
Caro Rino, ultimamente scrivo poco sul Blog, sia come articoli sia come post, però da ‘venesian’ non potevo esimermi da scrivere due righe.
Ti faccio i complimenti per la tempistica (l’evento è capitato pochi giorni fa) e perché hai centrato in pieno il sentimento per pervade gran parte dei veneziani.
Mi fermo qui perché il tema è molto complesso e in questi giorni se ne parla anche troppo, dicendo, a volte un sacco di imprecisioni e banalità.
From Elisa Antonelli
on
BELLA E SUPERBA
Complimenti e grazie caro Ceronte. Un abbraccio.
From Elisa Antonelli
on
SEI SOLA VENEZIA
Autore ignoto, grazie della tua sensibilità. Con poche parole hai saputo descrive la tragedia che sta sopportando la nostra bella ed unica Venezia. Leggendoti mi hai fatto venire i brividi.
From Monique
on
BELLA E SUPERBA
Poésie Française : 1 er site français de poésie
Les grandsclassiques
Tous les auteurs Poème au hasard
Les Grands classiques Tous les auteurs Victor HUGO La pauvre fleur disait au papillon céleste
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Victor HUGO
1802 – 1885
La pauvre fleur disait au papillon céleste
La pauvre fleur disait au papillon céleste :
– Ne fuis pas !
Vois comme nos destins sont différents. Je reste,
Tu t’en vas !
Pourtant nous nous aimons, nous vivons sans les hommes
Et loin d’eux,
Et nous nous ressemblons, et l’on dit que nous sommes
Fleurs tous deux !
Mais, hélas ! l’air t’emporte et la terre m’enchaîne.
Sort cruel !
Je voudrais embaumer ton vol de mon haleine
Dans le ciel !
Mais non, tu vas trop loin ! – Parmi des fleurs sans nombre
Vous fuyez,
Et moi je reste seule à voir tourner mon ombre
A mes pieds.
Tu fuis, puis tu reviens ; puis tu t’en vas encore
Luire ailleurs.
Aussi me trouves-tu toujours à chaque aurore
Toute en pleurs !
Oh ! pour que notre amour coule des jours fidèles,
Ô mon roi,
Prends comme moi racine, ou donne-moi des ailes
Comme à toi !
ENVOI A ***
Roses et papillons, la tombe nous rassemble
Tôt ou tard.
Pourquoi l’attendre, dis ? Veux-tu pas vivre ensemble
Quelque part ?
Quelque part dans les airs, si c’est là que se berce
Ton essor !
Aux champs, si c’est aux champs que ton calice verse
Son trésor !
Où tu voudras ! qu’importe ! oui, que tu sois haleine
Ou couleur,
Papillon rayonnant, corolle à demi pleine,
Aile ou fleur !
Vivre ensemble, d’abord ! c’est le bien nécessaire
Et réel !
Après on peut choisir au hasard, ou la terre
Ou le ciel !
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Les Grands classiques Tous les auteurs Victor HUGO La pauvre fleur disait au papillon céleste
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Victor HUGO
1802 – 1885
La pauvre fleur disait au papillon céleste
La pauvre fleur disait au papillon céleste :
– Ne fuis pas !
Vois comme nos destins sont différents. Je reste,
Tu t’en vas !
Pourtant nous nous aimons, nous vivons sans les hommes
Et loin d’eux,
Et nous nous ressemblons, et l’on dit que nous sommes
Fleurs tous deux !
Mais, hélas ! l’air t’emporte et la terre m’enchaîne.
Sort cruel !
Je voudrais embaumer ton vol de mon haleine
Dans le ciel !
Mais non, tu vas trop loin ! – Parmi des fleurs sans nombre
Vous fuyez,
Et moi je reste seule à voir tourner mon ombre
A mes pieds.
Tu fuis, puis tu reviens ; puis tu t’en vas encore
Luire ailleurs.
Aussi me trouves-tu toujours à chaque aurore
Toute en pleurs !
Oh ! pour que notre amour coule des jours fidèles,
Ô mon roi,
Prends comme moi racine, ou donne-moi des ailes
Comme à toi !
ENVOI A ***
Roses et papillons, la tombe nous rassemble
Tôt ou tard.
Pourquoi l’attendre, dis ? Veux-tu pas vivre ensemble
Quelque part ?
Quelque part dans les airs, si c’est là que se berce
Ton essor !
Aux champs, si c’est aux champs que ton calice verse
Son trésor !
Où tu voudras ! qu’importe ! oui, que tu sois haleine
Ou couleur,
Papillon rayonnant, corolle à demi pleine,
Aile ou fleur !
Vivre ensemble, d’abord ! c’est le bien nécessaire
Et réel !
Après on peut choisir au hasard, ou la terre
Ou le ciel !
1592/5000
Poesia francese: primo sito di poesia francese
Il grande classico
Tutti gli autori Poème au hasard
Grandi classici Tutti gli autori Victor HUGO Il povero fiore disse alla farfalla celeste
suddividere
stampare
Victor HUGO
1802-1885
Il povero fiore disse alla farfalla celeste
Il povero fiore disse alla farfalla celeste:
– Non scappare!
Guarda come i nostri destini sono diversi. Io resto
Stai andando!
Eppure ci amiamo, viviamo senza uomini
E lontano da loro,
E siamo simili e diciamo che lo siamo
Fiori entrambi!
Ma ahimè! l’aria ti porta via e la terra mi collega.
Destino crudele!
Vorrei imbalsamare il tuo respiro del mio respiro
Nel cielo!
Ma no, stai andando troppo lontano! – Tra i fiori senza numero
Stai scappando
E rimango solo a vedere la mia ombra girare
Ai miei piedi
Fuggi, poi torni; poi vai di nuovo via
Brilla altrove.
Quindi mi trovi sempre ad ogni alba
Tutto in lacrime!
Oh! affinché il nostro amore fluisca nei giorni fedeli,
O mio re,
Radicami o dammi le ali
Come te!
INVIO A ***
Rose e farfalle, la tomba ci unisce
Prima o poi.
Perché aspettarlo, diciamo? Non vuoi vivere insieme
Da qualche parte?
Da qualche parte nell’aria, se è lì che scuoti
La tua crescita!
Nei campi, se è nei campi che il tuo calice versa
Il suo tesoro!
Dove vuoi tu! che importa! sì, che sei senza fiato
O colore,
Farfalla radiante, corolla mezza piena,
Ala o fiore!
Vivere insieme, prima! è il bene necessario
E reale!
Dopo possiamo scegliere a caso, o la terra
O il cielo!
From Vitaliano Spiezia
on
Acqua Alta a Venezia
Purtroppo ogni commento appare superfluo.Rimane invece tanta amarezza e dolore profondo per chi come te, caro Paolo, ama Venezia. E Credo non sbagliarmi se dico il mondo intero.
From Monique
on
PENSIAMOCI
Le Rhinocéros
Le rhinocéros est morne
et il louche vers sa corne.
Que veut le rhinocéros ?
Il veut une boule en os.
Ce n’est pas qu’il soit coquet :
c’est pour jouer au bilboquet.
Car l’ennui le rend féroce,
le pauvre rhinocéros.
(Claude Roy)
278/5000
il rinoceronte
Il rinoceronte è triste
e strizza gli occhi al corno.
Cosa vuole il rinoceronte?
Vuole una palla di ossa.
Non è che sia carino:
è giocare a bilboquet.
Perché la noia lo rende feroce,
il povero rinoceronte.
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